Le Maroc est devenu un acteur clé dans la défense des questions internationales (média rwandais)

Le Maroc est devenu un acteur clé dans la défense des questions internationales 

Le Maroc, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, est devenu un acteur clé dans la défense des questions internationales, notamment celles relatives à la migration, à la lutte contre le terrorisme et à la protection de l’environnement, écrit mercredi l’Agence rwandaise d’information (ARI).

« Fort d’une grande expérience cumulée au fil des années et reconnue à l’échelle internationale, le Maroc s’est engagé à agir volontairement pour instaurer une stabilité durable aux niveaux mondial, régional et sous-régional en optant pour le choix stratégique de promouvoir une coopération Sud-Sud, Nord-Sud et triangulaire, qui se traduit par la réalisation de projets concrets en faveur de la stabilité et le développement durable », souligne l’ARI Dans un article consacré au Maroc à l’occasion de la fête du Trône.

Sous le titre « Le nouveau Maroc : 20 ans de règne de SM le Roi Mohammed VI », l’auteur de l’article fait observer que le Royaume a été parmi les premiers pays à adhérer aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme, aux droits des migrants et au droit international des réfugiés.

La publication anglophone rappelle que le Maroc a mis en œuvre, depuis 2013, deux campagnes de régularisation de migrants issus principalement de pays subsahariens qui ont bénéficié à plus de 50.000 migrants, notant que cette stratégie nationale a été accompagnée d’importantes mesures, notamment sur les plans de l’éducation, de la santé et d’accès à l’emploi décent et au logement pour garantir une intégration socio-économique progressive et respectueuse des migrants.

A travers le mandat confié à SM le Roi en tant que leader en matière de migration, par la Présidence de l’UA, le Maroc s’active dans plusieurs cadres africains et méditerranéens tels que le G4, le Plan d’action de La Valette, et le Processus de Rabat en œuvrant à centrer ses activités sur l’action, écrit l’ARI, ajoutant que c’est dans le même esprit que le Royaume a abrité, en décembre 2018, la 1ère Conférence Internationale du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière, qui a permis l’adoption d’un cadre commun pour réguler la migration internationale.

Pour ce qui est de la lutte contre l’extrémisme, la publication souligne que « le Maroc œuvre depuis plusieurs années à la promotion des valeurs religieuses, culturelles, spirituelles et humaines, contribuant ainsi à la création d’un environnement de tolérance et de coexistence pacifique ».

Dans ce sens, poursuit l’ARI, le Maroc a adopté une série de mesures visant notamment la lutte contre l’extrémisme et la radicalisation et la promotion des valeurs de modération et de tolérance, citant notamment la création de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains qui a pour objectif principal d’unifier et de coordonner les efforts des ouléma musulmans issus de l’Afrique.

Selon le média, Maroc s’impose aujourd’hui en tant que leader dans la formation des Imams, et joue un rôle de taille dans la promotion de l’islam tolérant et du juste milieu, du fait de la richesse de son patrimoine historique et de ses ressources spirituelles et symboliques.

S’agissant de la protection de l’environnement, l’agence rwandaise fait remarquer que le Royaume a placé la donne écologique au centre de sa stratégie de développement durable qui favorise un équilibre entre les dimensions environnementale, économique et sociale, ajoutant que le Maroc a jeté, au cours des dernières années, les bases d’un développement durable grâce à plusieurs réformes politiques, institutionnelles, juridiques et socioéconomiques.

Par ailleurs, l’ARI estime que les réformes et le dynamisme des efforts du Royaume au niveau international en matière de protection de l’environnement ont permis au Maroc de devenir un acteur clé dans ce domaine, notamment après l’adoption de sa Stratégie nationale de développement durable (SNDD) lors de la COP22 à Marrakech.

Et d’ajouter que le Maroc s’est toujours montré disponible à partager avec le reste du continent son expérience et son savoir-faire en matière de lutte contre le changement climatique, ce qui a notamment abouti à sa contribution effective au processus de mise en œuvre de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et sa participation aux études de faisabilité du Plan d’investissement climatique pour la région du Sahel.

 

2M.ma

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